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UNEF Metz

18 octobre 2009

Bourses aux livres

L’UNEF organise la solidarité sur les universités en permettant aux étudiants des années supérieures de revendre leurs manuels universitaires aux étudiants de première année. Ce système permet aux étudiants qui ont besoin de livres de les acheter moins chers et à ceux qui ont besoin d’en vendre de récupérer la totalité de l’argent.

DU MERCREDI 21 OCTOBRE AU VENDREDI 23 OCTOBRE DE 10H30 à 15H30 A LA MAISON DE L'ETUDIANT.

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7 octobre 2009

VICTOIRE DES ETUDIANTS

L'UNEF obtient la mise en place du 10ème mois de bourse !

L’UNEF se félicite que le tabou qui entourait l’instauration d’un 10ème mois de bourse pour couvrir les dépenses étudiantes du mois de septembre soit enfin tombé. Cette revendication portée depuis plusieurs années par l’UNEF et les étudiants semble enfin avoir été entendus.

Il reste néanmoins à en concrétiser l’application. Le président a en effet évoqué la nécessité d’allonger l’année universitaire. Nicolas Sarkozy ignore t-il que les étudiants travaillent déjà en septembre ? Depuis la réforme LMD, plus de 75% des étudiants (en université, CPGE, IUT, STS) reprennent désormais les cours avant le 15 septembre sans toucher d’aide. Et les activités pédagogiques (réunion de prérentrée, accueil des étudiants) exigeant la présence d’étudiants débutent en septembre dans plus de 90% des universités! Pour les boursiers, c’est donc travailler plus pour être aidé moins (voir tableau ci-joint)! Pour que 500 000 boursiers perçoivent de 160€ à 460€ en plus chaque année, l’UNEF demande que les moyens nécessaires à la mise en œuvre de ce 10ème mois de bourse soient votés par le Parlement à l’occasion du débat budgétaire pour une mise en œuvre immédiate de cette mesure.

Alors que 23% des étudiants renoncent à des soins pour raisons financières, l’UNEF se félicite du doublement du montant de l’aide à l’acquisition d’une complémentaire santé (qui passe de 100 à 200 euros). En revanche, l’UNEF craint que peu d’étudiants en bénéficie du fait de la nécessité de disposer d’une déclaration fiscale indépendante. L’UNEF demande son versement sous la forme de « chèque santé » aux étudiants afin de prendre en compte leur autonomie.

4 octobre 2009

Offre pour les adhérents

Pour la rentrée 2009, l'UNEF a crée un partenariat avec Lafayette Restaurant ( au 4ieme étage des Glaeries Lafayette de Metz ) afin que les étudiants puisse sortir tout en dépensant peu pour une bonne alimentation.

Les adhérents du syndicat se verront donc offrir soit un soda de 33cl soit une coupe de glaces 2 boules, pour l'achat d'un plat chaud, sur présentation de leur carte d'adhérent. 

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ATTENTION: Une publicité sur ce partenariat est parue incomplète dans le guide de l'étudiant de Metz. L'offre n'est valable que pour l'achat d'un plat chaud.

LE GUIDE DE L'ETUDIANT A METZ EST TOUJOURS DANS LE BUREAU DE L'UNEF A LA MAISON DE L'ETUDIANT

22 septembre 2009

C'est la rentrée !

Une rentrée dans le rouge pour les jeunes: l'UNEF interpelle le président de la République. Signez la pétition

             

Un coût de la rentrée insupportable pour les étudiants

A l’occasion de sa conférence de presse de rentrée, l’UNEF a rendu publique l’intégralité de son enquête 2009 sur le coût de la vie étudiante et sur les conditions de la rentrée pour les étudiants. L’évolution des dépenses du « panier de l’étudiant » démontre que leur situation sociale continue de se dégrader en cette rentrée. Les dépenses sont principalement tirées vers le haut en raison de la hausse des dépenses de logement et de l’augmentation des frais obligatoires décidés par le Ministère de l’enseignement supérieur (frais d’inscription, cotisation à la sécurité sociale étudiante, prix du ticket RU…). Le coût de la rentrée varie ainsi de 613 € à 2225 € par étudiant selon les situations.
Cette dégradation du coût de la vie étudiante est continue depuis 2001 : l’augmentation des dépenses obligatoires étudiantes est de 41,5% depuis 2001, alors que dans le même temps les aides n’ont augmenté que de 13%. Mais cette année, elle est amplifiée par les conséquences de la crise : alors que les revenus des familles sur lesquelles repose encore principalement le financement des études vont baisser, et que trouver un travail à côté de ses études pour les financer va être plus difficile, le coût de la rentrée devient insupportable pour les étudiants. Une augmentation des renoncements ou des abandons d’études pour des raisons financière est à craindre.

Les jeunes en première ligne face au chômage

En un an, le chômage des jeunes a augmenté de 28%. Après la destruction au premier semestre des emplois précaires (CDD, intérim) parmi lesquels les jeunes sont surreprésentés, les jeunes risquent d’être en première ligne de la suppression des CDI programmée par certaines entreprises parce que licencier un jeune coûte moins cher. De plus, 650 000 jeunes diplômés entrent en cette rentrée sur un marché de travail sinistré. Si rien n’est fait rapidement, une génération entière va traîner comme un boulet pendant toute sa vie professionnelle les difficultés d'insertion dues à la crise.

Le gouvernement semble plus que jamais coupé de la réalité  sociale de la jeunesse

Pourtant, les jeunes sont aujourd’hui les grands oubliés des mesures anti-crise du gouvernement. Malgré les engagements du président de la République de faire de 2009 « l’année de la vie étudiante », la revalorisation de 3% des bourses échelon 6 en cette rentrée ne concerne qu’un étudiant sur vingt, et le chantier « vie étudiante » est au point mort. Malgré la volonté de mettre en place une « nouvelle politique de jeunesse », le Livre Vert élaboré par Martin Hirsch n’a débouché sur aucun financement ni aucune mesure concrète. Même l’interdiction des stages hors-cursus, unanimement réclamée, a été refusée à l’Assemblée Nationale. Les efforts consentis par le gouvernement à ce stade sont bien insuffisants pour faire face à l’augmentation des dépenses et aux conséquences de la crise.

L’UNEF s’interroge : dans quel monde vit Valérie Pécresse pour affirmer que le coût de la rentrée étudiante est « à la baisse » ? Où pour estimer que les efforts de construction de logements sont satisfaisants alors que l’Etat continue de ne pas respecter ses engagements de construire 5000 nouvelles chambres par an ?

L’UNEF lance un appel solennel au président de la République et réclame la mise en place d’un bouclier social pour protéger la jeunesse

Les étudiants ne sont pas dupes : le temps des discours et de la communication est aujourd’hui révolu. Si le gouvernement n’a pas d’autre perspective à offrir à sa jeunesse, que la déqualification, la précarité et le chômage, il pose les bases d’une rupture durable avec les jeunes.
L’UNEF demande au président de la République des actes de rupture forts avec la situation sociale que connaissent les jeunes aujourd’hui. L’UNEF lui demande la mise en place d’un bouclier social pour protéger les jeunes de la crise et du chômage et lance une campagne de pétitions dans toutes les universités pour exiger des mesures d’urgence :

- la mise en place d’un 10ème mois de bourse pour les 500 000 étudiants boursiers qui doivent aujourd’hui faire face aux dépenses de la rentrée sans le moindre soutien de l’Etat.

- l’augmentation de 10% des aides au logement dont le montant n’a évolué que de 17 € depuis leur création en 1994 alors que les loyers ont plus que doublé.

- l’accélération des constructions et des réhabilitations de logements étudiants pour rattraper le retard accumulé depuis 2005 et atteindre les objectifs du plan « Anciaux » (50 000 nouveau logements construits et 70 000 rénovés jusqu’en 2014). L’UNEF demande que de nouveaux objectifs soient fixés en ce sens : 6400 logements soient construits et 7800 réhabilités chaque année à partir de 2009.

- la mise en place d’une aide à la recherche du premier emploi d’un montant de 50% du SMIC pour sécuriser socialement  la période d’insertion professionnelle des jeunes diplômés.

Signez la pétition pour obtenir des mesures d'urgence pour la rentrée

8 juin 2009

Mobilisation avec les salariés le 13 juin

Les mobilisations unitaires du 29 janvier, 19 mars et 1er mai derniers ont été d’une ampleur exceptionnelle et témoignent de la profondeur du mécontentement social. A trois reprises, ce sont des millions de personnes qui ont défilé dans les rues de nombreuses villes de France pour exprimer leur refus de la politique menée par le gouvernement face à la crise.

Les jeunes étaient présents massivement dans les manifestations partout en France, témoignant le ras le bol d’une génération dont l’avenir est plus que jamais incertain. Face à la crise, les jeunes attendent que le gouvernement les protège de la précarité et de la remontée du chômage qui les touche tout particulièrement. Le gouvernement doit répondre aux inquiétudes des jeunes, en investissant dans l’éducation, en prenant des mesures pour lutter contre la précarité et protéger les jeunes de la crise et du chômage.

La forte mobilisation dans les universités de ces dernières semaines a montré la volonté des étudiants de protéger le service public d’enseignement supérieur contre la politique menée par le gouvernement. Si celle-ci a permis d’obtenir des avancées non négligeables, elles restent toutefois insuffisantes. Le gouvernement doit répondre aux inquiétudes des étudiants notamment sur leurs conditions de vie et d’étude.

Le 13 juin doit être un nouveau temps fort de cette mobilisation. L'UNEF appelle les étudiants et tous les jeunes à se mobiliser le 13 juin et à manifester aux cotés des salariés pour faire entendre leurs revendications.

RDV SAMEDI 13 JUIN à 10h Place Mazelle à Metz 

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16 mai 2009

Permanences SOS Examens

Les Exams sont finis! Lors des exams, les étudiants ont des droits qui ne sont pas connus de ni respectés par tous ! Donc si vous voulez connaitre vos droits ou si vous avez rencontrez des problèmes pendant ou après votre partiel ...

N'hésitez pas à vous adresser à un militant de l'UNEF

Tout les mardis de 16h à 18h au Bureau n°6 de la MDE.

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28 avril 2009

Manisfestation du 1ier Mai

Tous dans la rue le 1er Mai !

Les mobilisations unitaires du 29 janvier et du 19 mars derniers ont été d’une ampleur exceptionnelle et témoignent de la profondeur du mécontentement social. A deux reprises, plus de 2 millions et 3 millions de personnes ont défilé dans les rues de nombreuses villes de France pour exprimer leur refus de la politique menée par le gouvernement face à la crise.

Les jeunes étaient présents massivement dans les manifestations partout en France, témoignant le ras le bol d’une génération dont l’avenir est plus que jamais incertain. Face à la crise, les jeunes attendent que le gouvernement les protège de la précarité et de la remontée du chômage qui les touche tout particulièrement. Le gouvernement doit répondre aux inquiétudes des jeunes, en investissant dans l’éducation, en prenant des mesures pour lutter contre la précarité et protéger les jeunes de la crise et du chômage.

Le 1er mai doit être un nouveau temps fort de cette mobilisation. L'UNEF appelle les étudiants et tous les jeunes à se mobiliser le 1er mai et à manifester aux cotés des salariés pour faire entendre leurs revendications.

RENDEZ VOUS VENDREDI 1ier MAI 10h à la GARE !!!

         

26 février 2009

Pour sauver Shahriar Ziaee Ghomi

Shahriar, 26 ans, étudiant en Arts du Spectacle à l'Université de Metz, est arrivé en France en 2006. Depuis deux ans, et comme de nombreux étudiants étrangers, il vit une situation de précarité sociale et administrative permanente. Exploité dans différents restos et bars messins, Shahriar vient de recevoir une " Obligation de Quitter le Territoire Français" sous un mois...

battons-nous pour qu'il reste!


SIGNEZ LA PETITION

24 février 2009

ACTION JEUDI 26 FEVRIER


ENTERREMENT DE L'UNIVERSITÉ DE METZ


Depuis plusieurs semaines, les étudiants se mobilisent massivement dans les universités. Le 10 et 19 février, ils étaient plusieurs dizaines de milliers à descendre dans les rues de nombreuses villes pour exprimer leur opposition à la politique universitaire du gouvernement. A Metz, ce sont toujours plus de 500 étudiants qui rejoignent les cortèges de manifestants.

Valérie Pécresse s’est enfermée depuis plusieurs semaines dans une un silence coupable face à une mobilisation toujours forte dans la communauté universitaire.

Elle refuse d’entendre les demandes d’amélioration de l’encadrement des étudiants, impliquant notamment le rétablissement des 900 postes supprimés et le gel des suppressions de poste dans l’enseignement supérieur à partir de 2010. Elle est silencieuse sur la nécessité de remettre à plat la réforme du financement des universités à la « performance » qui creuse les inégalités entre universités et va pénaliser les établissements les plus en difficulté. Elle n’apporte aucune garantie sur la nécessité de mettre en place un « paquet social étudiant » améliorant leurs conditions de vie. Elle se refuse à répondre aux demandes de modifications de la réforme de la formation des enseignants qui liquide leur formation professionnelle et accroit la sélection sociale dans l’accès à ces métiers. Elle mène aujourd’hui un combat d’arrière garde qui consiste à limiter à tout prix la réécriture pourtant inéluctable du décret modifiant le statut des enseignants-chercheurs.


Dans ce contexte et après la rentrée universitaire à Metz, l'UNEF appelle tout les étudiants et les enseignants chercheurs à se rendre Jeudi 26 Février à la Marche Funèbre du Service Public qui se déroulera dans l'après midi après l'Assemblée Générale (12h30 - Amphi Demange). Le cortège se rendra au centre ville pour procéder à l'oraison funèbre de l'UPV-M devant des lieux stratégiques tels que la Mairie, la Préfecture et la Présidence de l'UPV-M. Devant chacun de ces lieux, une minute de silence ainsi qu'un discours d'adieu de l'Université de Metz sera proclamé.

Parce que le Gouvernement casse notre éducation , sacrifie la jeunesse et tue l'avenir des Universités Public, Jeudi nous enterrons et porterons le deuil de l'Université de Metz.


ASSEMBLÉE GÉNÉRALE JEUDI à 12H30 AMPHI DEMANGE
RENDEZ VOUS 14h30 DEVANT L'AMPHI DEMANGE pour le cortège funèbre 

11 février 2009

Nous ne serons pas la génération sacrifiée ! Signez l'appel !

Crise : nous ne serons pas la génération sacrifiée! Signez l'appel !

             

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Les jeunes, premières victimes de la crise

 

Notre génération est inquiète pour son avenir. Particulièrement touchés par la crise et la reprise du chômage, les 18-25 ans sont amenés à supporter sans protection tous les risques liés à l’entrée sur le marché du travail : difficultés d’accès au 1er emploi, déqualification des jeunes diplômés, développement de l’emploi précaire, chômage.

La remontée du chômage va amplifier la pression que subissent les jeunes et qui les pousse à accepter n’importe quelle solution d’embauche qui ne donne accès ni à une rémunération décente ni à un emploi stable.

Si les jeunes ne constituent pas une catégorie sociale homogène, ils partagent un même besoin de formation et d’insertion professionnelle, connaissent la précarité lors de leurs études ou sur le marché du travail, et portent une même aspiration à l’autonomie. Pourtant, malgré les évolutions du marché du travail et l’allongement de la durée d’études, nous devons traverser cette période de la vie sans protection. Pire, alors même que le diplôme reste notre meilleure arme contre le chômage, l’accès aux qualifications et au monde du travail ne constituent plus une perspective d’ascension sociale.

Notre société entre dans une crise sociale profonde, et la jeunesse est en première ligne. A l’heure où les premières conséquences de la crise commencent à se faire sentir (fin de contrats précaire et de missions d’intérims, chômage technique, licenciements,..), nous refusons de servir de variable d’ajustement sur le marché du travail, et nous n’acceptons pas de voir notre avenir s’assombrir. Nous refusons que la précarité ou le chômage constituent un horizon indépassable pour notre génération. Nous refusons d’accepter comme une fatalité de vivre moins bien que nos parents, ce que renforce le gouvernement en allongeant la durée du travail et en réduisant nos droits à la retraite. Nous refusons que les jeunes soient maintenus dans une zone de non-droit par les politiques publiques.

La crise dont nous allons subir de plein fouet les effets met en lumière et amplifie les conséquences de l’absence de droits ouverts pour la jeunesse.

 

Ne pas protéger les jeunes, c’est hypothéquer l’avenir !

 

Dans une période de crise et de chômage, il est indispensable de protéger les jeunes, de prendre des mesures pour la défense de l’emploi et du pouvoir d’achat. Une société qui fait le pari de l’avenir doit investir dans sa jeunesse et dans sa formation.

Donner à l’ensemble d’une génération les moyens d’accéder à une formation qualifiante est non seulement indispensable pour protéger les jeunes du chômage mais également un investissement nécessaire pour l’avenir de toute la société. La France a besoin d’augmenter le niveau général de qualification de sa population. Il s’agit d’une exigence à la fois démocratique, économique et sociale.

 

Les jeunes sont aujourd’hui les grands oubliés du plan de relance.  Nous demandons au gouvernement des réponses ambitieuses pour nous permettre de faire face à la crise et préparer l’avenir.

Ø Pour faire face à la déqualification, il est indispensable de reconnaitre les qualifications dans les conventions collectives, en conditionnant les aides publiques et exonérations de cotisations à des accords salariaux.

Ø Pour faire face au sas de précarité entre la sortie des études qui pousse à accepter n’importe quelle solution d’embauche, nous réclamons une aide à la recherche du premier emploi.

Ø Des mesures fortes de soutien à la consommation et au pouvoir d’achat des jeunes. La crise rend vulnérables les personnes aux revenus modestes dont les dépenses contraintes augmentent, comme les jeunes, qu’ils soient privés d’emploi, salariés ou étudiants. Les étudiants connaissent une baisse constante de leur pouvoir d’achat depuis 2001. L’accès des jeunes aux qualifications implique un soutien financier à la hauteur des besoins pour les étudiants.

Ø L’Etat employeur a une responsabilité en matière de création d’emplois et doit renoncer aux milliers de suppressions de postes dans la fonction publique et en particulier pour les métiers de l’éducation nationale, qui relèvent d’un véritable plan social en période de crise et ferment des débouchés à des milliers de jeunes. Au contraire, il convient d’engager un plan de création d’emploi public pluriannuel pour répondre aux besoins du service public.

 

Le 29 janvier, nous étions dans la rue. Non contre la crise, mais contre la réponse insuffisante et inadaptée que le gouvernement lui apporte. Parceque nous réclamons un droit à l’avenir pour notre génération, il est indispensable de prendre la mesure de nos inquiétudes et d’y apporter des réponses. Plutôt que de faire la météo des catastrophes à venir pour les jeunes, le gouvernement serait bien inspirer de sortir enfin le parapluie, comme il a su le faire pour le système bancaire.

SIGNEZ L'APPEL

 

Signataires : UNEF, CGT jeunes, FO jeunes, UNSA, UNL, LMDE, Génération précaire, Jeudi Noir.


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